1939-1943 PDF Imprimer
La Guerre de 39-45

 

 

 

Deux tunnels d'entrée au niveau de la côte 65 amènent à de longs couloirs voutés desservant de nombreuses salles grandes et petites (dépots d'armes, de vivres, puis infirmerie et salle d'opération à la Libération).

 


Un escalier de quelques 70 marches relie la caserne souterraine à la "campagne" tenue par les occupants.



Souvenirs d'escaliers champêtres les ayant précédés, évoqués dans "La maison assassinée" : "Quatre marches ensuite, et une allée coudée brusquement à gauche menaient au-dessus d'un petit verger, transformé plus tard en champ de vignes…une volée d'escaliers menait ensuite au fond du fruitier, sous une treille portant des olivettes. A angle droit s'amorçait l'allée le traversant tout entier, et empruntant deux volées d'une douzaine de marches de brique, qui rejoignaient les deux paliers du terrain."



Dans LE PETIT MARSEILLAIS du 25 janvier 1944 paraît cet avis
     Circulation au bord de mer

  La Préfecture des Bouches du Rhône communique:

La circulation des piétons sur les voies de Marseille qui longent la côte n'est permise que sur le côté opposé à la mer.

Il est formellement interdit de stationner et de s'entretenir avec les ouvriers civils employés sur ces voies ou à proximité.

Tout contrevenant à ces instructions s'expose à un danger de mort.

Complété par des affiches le 21 avril 1944